J’ai écrit récemment un article sur le “pourquoi ne pas emmener ses enfants au cinéma” et j’avais tout un tas de bonnes raisons (à mon sens).
Par exemple, pour ne citer que ça, parfois, je n’ai quand même pas très envie de m’enfiler 2h d’un dessin animé sur la vie et l’œuvre de Tchoupi.
Oui, parce que bon, Kevin, il a peut-être comme rêve absolu de voir Tchoupi, mais moi, moins. Beaucoup moins. Dans ce genre de cas, je suis partagée entre l’envie de faire plaisir à Kevin et l’envie de le déshérité (le pauvre, il perdrait ma collection de Lego alors qu’il n’attend que ma mort pour enfin en profiter).
Mais tout à coup, des gens ont eu une idée lumineuse : celle de s’occuper de tes enfants au ciné pendant que toi, tu peux complètement faire autre chose.
Si si ! C’est enfin possible.
Non, parce que je suis bien d’accord que ma mère, à l’époque, me larguait dans la salle, seule, et revenait me chercher à la fin de la séance (les gens dans les années 80 ne s’encombraient pas vraiment de certains doutes, à priori), mais aujourd’hui, on ne fait PAS ça.
L’idée est donc terriblement bonne pour qui s’est déjà coltiné Les Minions 4 fois depuis sa sortie (oui, c’est sortie hier, je sais, c’est justement le problème que je soulève) ou n’a juste pas envie ou autre chose à faire pendant ce temps.
Kidociné, c’est tout ça.
Un moyen sympa de faire garder les enfants le temps de faire autre chose, que ce soit de se prendre un café tranquille ou de faire les soldes, peu importe, les 2h de liberté, elles sont pour toi, tu en fais ce que tu souhaites.
Pendant ce temps, Kévin est pris en charge par un animateur titulaire du BAFA. peut-être même qu’il le connait, puisque les animateurs sont les mêmes que ceux nos enfants peuvent croiser en période périscolaire.
Comment ça marche ?
On télécharge l’appli Kidociné, sur l’App Store ou Google Play
Ensuite, on choisit le cinéma dans lequel on souhaite aller (pour le moment, seul UGC Part Dieu propose le service, mais il sera bientôt disponible à Confluence et à Bellecour).
On choisit sa séance, on rempli les champs concernant les enfants et… on paye.
RDV 15 minutes avant la séance, l’animateur prend en charge les enfants et Bye Bye, c’est parti pour 2h de liberté absolue !
Ça coute combien ?
12 euros la séance.
On peut avoir des réductions grâce à la carte de fidélité du centre commercial La Part Dieu (gratuite, ICI), ce qui passe la séance à 10€ au lieu de 12.
Vu que TOI, tu ne payes pas TA place, c’est largement rentable, donc.
Le + ?
Sans compter les avantages que cela a, pour nous, parents, on peut aussi penser à utiliser le service pour gérer… un anniversaire !!!!!
Je dis OUI !
Qu’est-ce qu’on en pense ?
Sur le papier, je valide complètement le concept, que ce soit pour se dégager du temps ou par souci d’économie.
A voir après test si les enfants apprécient tout autant.
Je reviendrai remplir le champs précédent avec mon avis objectif (et celui de ma descendance) dès que j’aurai pu tester avec mes propres greffons, qui, pour le moment, sont en vacances, sans moi, vois-tu, les pauvres.
Eux, ils ont tout compris depuis longtemps : ils larguent leurs parents pendant qu’ils profitent de leur liberté.
Kidociné a tout pompé sur mes gosses en fait !
2 commentaires
ok pourquoi pas…
Mais moi j’ai qu’une hâte, emmener mon gamin et se faire une toile à deux, père / fils, et avec maman aussi qui kiffe bien les Disney et cie ! héhé !
Il y a tellement de temps où l’on n’est pas avec son gamin… que je trouve dommage de choisir de déléguer ce genre d’activité à une tierce personne… mais bon chacun voit midi à sa porte.
Je comprends bien, mais est ce qu’il ne faut pas prendre le service comme un moyen de faire garder son enfant d’une chouette manière pendant qu’on se dégage du temps pour faire les courses, par exemple ?
Quand mes enfants etaient petits, je ne pouvais pas les laisser seuls a la maison pendant les “grosses courses” par exemple.
Ils venaient donc avec moi, pas le choix, et ils vivaient evidemment l’enfer, hein, on va pas se mentir.
J’aurais largement préféré les laisser au ciné, si ça avait existé à l’époque…